Bat’ sol’ est un petit pêche promenade transformé en bateau électrique solaire et qui a pour seule source d’énergie les panneaux solaires installés sur son toi.
En conditions favorables et avec une utilisation optimale de l’énergie solaire collectée, Bat’ Sol’ peut évoluer toute la journée pratiquement sans décharger son parc de batteries.
Pour ce projet le constructeur avait fixé des contraintes, autres que budgétaires, qui ont conditionné ses choix techniques :
– pas de permis bateau (fluvial) donc moteur de moins de 4,5 kW (6 CV)
– pas de permis EB, donc PTAC (Poids Total Autorisé en Charge) de la remorque inférieur à 750 kg :
– un moteur électrique « hors-bord » suffisamment puissant pour mouvoir un bateau monocoque de 800 kg (sans les passagers) à une vitesse moyenne de 6-7 km/h
– une surface disponible en « toiture » pour les capteurs photovoltaïques (sans dépasser les cotes longueur-largeur du bateau) : 8 m2 (ici, le panneau solaire fait 5,5 m2)
– Puissance crête du panneau photovoltaïque équivalente à la moitié de la puissance maxi du moteur (ici, on a 960 Wc pour un moteur de 2000 W) et de poids minimal (idéalement capteurs minces, mais beaucoup trop chers) : donc capteurs à haut rendement (ici, 18%)
– le poids minimal pour les batteries, tout en restant au plomb (lithium beaucoup trop cher) : donc batteries technologie AGM et acceptant à la fois de forts courants de décharge et des décharges jusqu’à 80% sans détérioration, avec une autonomie d’environ 1 heure à pleine puissance du moteur, sans soleil
Le Bateau est un Shetland 498 âgé de 33 ans, un petit sloop « pêche-promenade » d’origine anglaise.
Il fait 4.95 m de long, 2.04 de large pour un poids de 420 kg à vide.
Choix du matériel électrique et de la motorisation électrique : De la haute technologie, avec des performances élevées
– 1x moteur hors-bord électrique Torqeedo Cruise 2.0R, puissance 2 000 W, rendement 49% (presque 2 x mieux qu’un moteur thermique), poids 17 kg
– 4x capteurs Sanyo HIT-H240 « hétérojonction », à haut rendement (17,3%) – 4 x 240 Wc (watts crête) = 960 Wc, surface totale 5,5 m2, poids total 68 kg
– 1x régulateur solaire Victron Blue Solar MPPT 12-24 40 à haut rendement de recharge batterie (technologie MPPT – Maximum Power Point Tracker = recherche du point de puissance max du capteur solaire)
– 4x batteries plomb étanche (technologie AGM) Optima Blue top, en branchement série/parallèle (24 V – 150 Ah)
Dans le cout de ce projet, le Torqeedo Cruise 2.0R représente 18% du budget globale qui est de 12 000 euros.
Les Performances du Bat’ Sol’ avec le Torqeedo Cruise 2.0R
Quelque soit le type de bateau, les performances du Torqeedo Cruise 2.0R à une puissance entre 700 et 800 watts sont similaires, la vitesse est entre 6 et 7 km/h.
A plein régime (2500 watts) la vitesse varie selon le bateau. Avec le Bat’ Sol’ elle est de 8.5 km/h et dont une pointe de vitesse, dans le sens du courant, à 15 km/h.
Son lieu de navigation est la Charente.
Nous tenons à remercier Mr Jean-Paul BLUGEON de l’association Défi énergies 17 de nous avoir fait partager son projet : http://www.defi-energies17.org/.
Nous vous invitons à découvrir l’article très complet du Bat’ Sol’ sur le site internet de : http://www.la-maison-du-soleil-17.com/batsol
l’energie solaire c’est l’avenir !!!
Oui, mais ce n’est pas le présent ! Je regrette de voir tous ces articles ventant les panneaux solaires, avec des prix exorbitants et des performances ridicules. Le résultat immédiat de cette promotion « mensongère » en terme de rapport performance/prix est que les consommateurs vont être déçus par les résultats et vont reportés leur amertume sur l’ ensemble de la filière moteurs électriques, alors que la motorisation électrique est l’avenir de la motorisation en eau douce. Alors par pitié, soyez un peu plus technique et lucides dans les solutions que vous proposez. Une mauvaise promotion peut coûter beaucoup plus cher que pas de promotion du tout !
Bonjour,
Peut être n’avez vous pas lu l’article qui est très technique sur le blog de ce constructeur amateur : http://www.la-maison-du-soleil-17.com/batsol
Avec notre article, nous avons voulu faire un clin d’oeil et faire un lien vers ce projet.
Maintenant si vous pouvez techniquement prouvé que l’installation de ce constructeur amateur ne fonctionne pas et que c’est de la promotion « mensongère » c’est avec plaisir que nous vous publierons.
Quand à la promotion de la navigation par le biais d’une motorisation électrique en eau douce comme en mer, vous êtes bien sur le bon blog.
Vous n’avez pas compris le sens de mon intervention : l’installation qui est présentée a un tel coût, qu’elle n’est absolument pas envisageable en tant que solution standard. Avec beaucoup d’argent on peut toujours mettre en oeuvre des solutions techniques, mais c’est inaccessible et ça ne sert à rien pour le plus grand nombre. Si l’on veut faire évoluer les technologies dites « propres », il faut impérativement que ces technologies soient accessibles financièrement au plus grand nombre de consommateurs. Dans notre association FREEBOAT, nous essayons de vulgariser les nouvelles technologies pour qu’elles deviennent accessibles au plus grand nombre et avoir ainsi de vrais résultats positifs. Les panneaux solaires ont aujourd’hui des rendements minables, mais des prix élevés ! Pour nous, ce n’est pas une solution actuelle viable, et le faire croire aux consommateurs risque de retourner les consommateurs mécontents contre la filière électrique ! Et ça, c’est du vécu depuis plus de cinq ans au quotidien avec une génération de consommateurs très méfiants sur la solution électrique !
Bonjour,
Je ne m’attendais pas à une telle volée de bois vert. Je ne peux pas vous laisser me dénigrer sans réagir !
D’abord, vous dites que l’électricité est l’avenir de la motorisation en eau douce, je ne peux évidemment qu’être d’accord avec vous. Mais avec quelle électricité envisagez-vous de recharger les batteries ? Parce que d’une part, actuellement à 75% d’origine atomique (du moins, en France), ce n’est pas une source d’énergie viable à long terme, et même à court terme : rejets et déchets nucléaires, démantèlement des centrales, accidents… La motorisation électrique n’est acceptable qu’à condition que l’électricité provienne d’énergies « de flux » : solaire, éolien, hydro pour l’essentiel.
Ceci étant, je pense que la motorisation électrique ne bénéficie pas encore des batteries qu’elle mérite : c’est le plus gros point faible et je vous accorde qu’il est de taille. Pour le moment, même avec la technologie Lithium (120 Wh/kg contre 30-40 pour le plomb) on est encore loin de la densité en énergie requise…
Le réseau de bornes de recharge des batteries des bateaux électriques étant ce qu’il est (!) je ne trouve pas idiot d’auto-produire au moins une partie de l’électricité consommée sur un parcours. C’est ce que j’ai essayé de faire avec mon petit bateau solaire et j’ai la faiblesse de penser que ça ne marche pas trop mal. A autonomie égale, le générateur photovoltaïque m’a permis de diviser au moins par 2 la capacité de la batterie, qui du coup ne pèse « plus » qu’une centaine de kilos.
Concernant le prix de mon générateur solaire, soit environ 3 000 €, certes c’est une somme qui représente environ 30 000 kWh (à 10 c€/kWh). Même à mi-puissance du Torqeeedo Cruise 2.0 (1 kW) ça représente 3 000 heures de fonctionnement. Je ne trouve pas exagérée mon estimation (sur 10 ans) de 300 heures de navigation par an, soit environ 43 jours à raison de 7 h/jour. Et les capteurs vont durer au moins 20 ans : c’est la durée actuelle de garantie des fabricants de photovoltaïque, pour les capteurs solaires de bonne qualité. Ainsi, ceux de la micro-centrale sur le toit de ma maison ont 17 ans et ont perdu moins de 5% de rendement. J’en ai d’autres (pour mon réseau 24 V continu) qui ont une trentaine d’années. J’ai l’honneur de faire en quelque sorte partie des pionniers qui ont depuis longtemps déjà cru à l’énergie solaire et qui sont de plus en plus confortés dans cette voie. Sur cette période, j’ai pu assister à la baisse du prix du Wc photovoltaïque et parallèlement du rendement des capteurs. Ceux de Bat’Sol’ ont un rendement de 18% : ce n’est absolument pas ridicule comparé aux 30% des centrales électriques thermiques (cycle de Carnot) surtout si on enlève 7-8% au cours du transport de l’électricité… Et la filière PV n’a pas dit son dernier mot : on trouve des capteurs à 20-21% (certes encore plus chers) et les rendements en labo atteignent plus de 30% pour les meilleurs technologies : c’est ce qu’on aura sur le marché dans moins de 10 ans !
Par ailleurs, l’énergie grise des capteurs PV (l’énergie consommée pendant le cycle de vie, de la fabrication au recyclage) ne représente que 3 à 4 ans de leur production quand ils sont installés orientés au soleil (source : ADEME…). C’est finalement peu comparé aux 20-25 ans de durée de vie. Et ils ne génèreront pas de déchets toxiques.
Enfin, pour revenir au prix « exhorbitant » de mes capteurs, je vous accorde qu’il est encore élevé mais cela me regarde et je suis libre de choisir d’investir dans une technologie promise à un bel avenir (et même aujourd’hui déjà !). Sur la page de mon site Internet, j’ai bien pris le soin d’indiquer qu’il s’agit de ma propre expérience, qui n’est pas forcément reproductible par tout un chacun. Le prix des bateaux solaires proposés par les quelques rares fabricants n’ont rien à voir avec les 12 k€ de Bat’ Sol’ : le moins cher coûte au moins 4 fois plus…
Pour en terminer avec cette mini polémique, je tiens à vous faire remarquer que vous êtes la première personne à critiquer ma réalisation, dont je suis plutôt assez fier. Au contraire, jusque là je n’avais eu que des réactions positives, en particulier lors de mes premiers déplacements sur la Charente : Bat’ Sol’ semble bénéficier d’un accueil sympathique !
BONJOUR
Le site en question ne semble plus exister
Savez vs comment contacter ce constructeur car je souhaite construire un bateau du mm genre et il y avait ttes les coordonnées des fournisseurs sur son tres bon site
Merci d avance
JF Lassiaille
Vous pouvez retrouver toutes les informations que vous souhaitez dans le magazine Fluvial n°225 à la page 42.
Il va falloir se calmer et être un peu plus démocrate ! Je n’ai pas crtiqué votre réalisation ( je ne parle que du coût des panneaux solaires ) et j’ai répondu à une remarque générale.A ce jour, la technologie sur les panneaux solaires n’est pas à la hauteur de l’attente des consommateurs et les nouvelles techniques développées en labo ( capteurs multicouches ) laissent présager un prix encore plus élevé ! Moi je reste les pieds sur terre et je regarde ce que me propose le présent.Bénéficier d’un accueil sympathique, c’est une chose, mais demandez donc à tous ces gens sympathiques s’ils sont prêts à dépenser 12000 euros pour motoriser une embarcation de moins de 5 mètres ? J’ai fabriqué des bateaux pendant quelques années et les clients avaient du mal à dépasser les 3000 euros pour une embarcation de ce type : voilà la réalité ! L’écologie n’a de sens que si elle est accessible au plus grand nombre !
Bonjour,
Dans un premier temps, les panneaux solaires n’ont jamais été des chargeurs mais des maintiens de charge. Ils n’ont pas la capacité de remonter l’état de charge d’un parc de batteries devenu trop bas. Par contre un chargeur de bonne qualité le fait parfaitement.
Je pense que l’écologie n’est pas le seul argument pour motoriser et naviguer avec un moteur électrique. Ils y a bien d’autres avantages et heureusement pour Torqeedo et les autres marques qui proposent et développent des produits.
Des avantages comme : plus de bruit, plus d’odeur, un cout d’entretien bien moindre Et plus d’essence.
Par exemple beaucoup de loueurs comme moi remplacent progressivement leur parc de 6CV thermique contre des moteurs électriques du type Cruise 2.0R. Le cout d’une recharge est moins d’un euros pour une parc de batterie de 200 Ah (entre 4 et 5 heures de navigation à 7 km/h). Certes il faut adapter les bateaux pour pouvoir placer les batteries mais c’est possible. Pour un loueur, comme un plaisancier le cout annuel en essence et investit en batteries et la durée de vie des batteries pour un professionnel est entre 4 et 5 ans.
Je vous laisse imaginer quelle est la part de l’écologie par rapport à la rentabilité….
Maintenant si on veut parler écologie, merci de m’expliquer pourquoi tout les agents des ONEMA, gardes Pêche, même fédération de pêche utilisent toujours des moteurs thermiques de 6CV. Quand on sait que Torqeedo propose des moteurs équivalent à des 6CV. Et si on parle d’argent, dans bien nombre de fois pour ces utilisateurs c’est l’argent du contribuable qui utilisé par le biais de subventions…
Pour moi en résumé, merci à hors-bord-electricle.com de continuer à nous montrer qu’il est possible de naviguer avec des moteurs électriques et que cela fonctionne sans panneaux solaires. Et surtout il y en a pour tous les budgets… L’écologie est un avantage mais il y en a bien d’autres plus intéressant. Un peu de polémique, c’est toujours sympa mais sur l’utilisation de panneaux solaires ou pas….
Par pitié ne vous arrêtez pas au système de recharge.
Les agents de l’ONEMA, les gardes Pêche et les fédérations de pêche utilisent des 6CV thermiques parce que ça réponds à leur besoin : plusieurs heures d’autonomie sur le terrain avec un coût restreint et une facilité d’utilisation.
Un 6CV électrique avec plusieurs heures d’autonomie sur le terrain, est ce que ça existe ? OUI
A quel prix ? 4 fois plus cher avec une heure d’autonomie et INABORDABLE avec plusieurs heures !
Alors ne demandez pas le beurre et l’argent du beurre.
Soi on choisi une solution écologique et le contribuable paye le prix de la technologie disponible, soi on continue à polluer et ça coûte moins cher !
La fédération de pêche en Vendée utilise un Torqeedo Cruise 2.0S, comme les clubs de voiles des Joués les Tours, de la Rincerie, de Nantes ou encore le parc régional de Brière et bien d’autre professionnels ont fait ce choix.. Chaque année ils sont de plus en plus nombreux et heureusement pour notre démarche.
Pour vous donner une idée du budget car je pense que vous ne le connaissez pas. Le Torqeedo Cruise 2.0S dont la poussée correspond à celle d’un moteur thermique de 5/6 CV est de 2399 euros TTC (2011).
Un parc de batteries en GEL ou AGM (200 Ah/ 24V) avec chargeur pour deux heures d’autonomie à plein régime soit autour de 12 km/h est 1500 euros TTC. Pour une utilisation en rivière ou dans certains nombre de lacs la vitesse est généralement limitée à 7 km/h, il est possible de choisir des batteries moins importantes et donc de baisser le cout. A 7 km/h, le Torqeedo Cruise 2.0 consomme seulement 33 Ah (800 watts).
La durée de vie des batteries est au minimum de 5 ans. Le cout annuel en essence et entretien pour des Onema, gardes pêche ou autres est entre 800 et 1000 euros… Le cout à l’acquisition est plus important mais ramené sur 5 ans, le choix de la motorisation électrique est plus abordable.
Prenons un exemple : un ensemble Torqeedo Cruise 2.0S avec son parc de batteries (en 24V / 200 Ah) AGM/PLOMB + Chargeur, il faut compter environ 4000 euros TTC. Avec la technologie utilisée par Torqeedo, les moteurs sont sans entretien. Il n’y a plus aucun cout pendant 5 minimum.
Pour un moteur thermique de 5/6 CV, le tarif est d’environ 1600 euros TTC. Le cout annuel avec l’essence et l’entretien est d’environ 800 euros par an (pour une utilisation pro.) le cout sur 5 ans (moteur + entretiens) est de 5600 euros…..
4000 euros pour l’électrique contre 5600 euros pour le thermique, je pense que L’argument INABORDABLE n’est pas un bon argument.
Après, si vous faite allusion à l’utilisation de batteries au lithium, effectivement le cout est plus important à court et moyen terme mais pas à long terme, car la durée de vie d’une batterie au lithium est entre 6 et 10 ans.
Le cout des batteries au lithium baisse. La Torqeedo Power 26-77 valait 3999 euros TTC (2010), aujourd’hui la nouvelle batterie Torqeedo Power 26-104 (qui est plus performante) coute 2599 euros TTC (2012).
L’utilisation de batteries au plomb type AGM ou GEL répond parfaitement dans 80% des utilisations. Il suffit de bien répartir les poids dans les bateaux et certaines sociétés savent très bien le faire.
Je pense que c’est plus une question de manque d’information, d’idées préconçues, ou d’habitude que d’argent.
Hors-bord-electrique.com a été crée pour essayer de répondre à toutes ces idées préconçues et à ce manque d’information autour de la motorisation électrique. Nous essayons de le démontrer par le biais d’exemples concrets.
Bravo pour votre démarche et bonne continuation !
Bonjour,
Merci pour votre site. Cependant, pourquoi est-il orienté à 100 % sur les produits TORQUEEDO ?
C’est peut-être un parti pris, mais il me semble qu’il existe bien d’autres marques. Cela semble suspect au premier abord. Avez-vous un lien particulier avec cette marque ?
Merci en tout cas de donner des informations concrètes, chiffrées et objectives.
Cordialement,
Bonjour,
Notre blog est effectivement orienté vers les hors bord électrique de la marque Torqeedo pour plusieurs raisons.
Pour nous c’est la seule marque qui propose des moteurs électriques dont les poussés sont comparables à des moteurs thermiques et dont les couts (prix public) sont presque similaires à des moteurs thermiques.
Il y a d’autres marques de motorisation électrique qui sont soit peu révolutionnaire, ou peu répandu donc pas de possibilité de les tester et surtout à des tarifs exorbitants.
Si nous voulons faire la promotion de la motorisation électrique, du bateau électrique, il faut des produits ayant des poussées intéressantes avec des tarifs raisonnables et pour le moment il y a que Torqeedo.
Maintenant si vous avez tester une autre marque répondant à ces quelques critères, c’est avec plaisir que nous vous publierons.
Bonjour,
Bravo et félicitations pour votre mission très réussie de promotion et de vulgarisation de la navigation électro-solaire.
Deux points:
1)la forme de la coque est très importante, votre Shetland est certes une belle réussite, mais la forme de la coque n’est pas optimale en raison du remous qui se créent à l’arrière gourmands en énergie. Les coques qui conviennent sont des coques à déplacement qui offrent de bien meilleures performances.
2) il existe aussi d’autres possibilités de motorisation avec arbre fixe, c’est un peu plus complexe à installer mais le rendement est meilleur. Les moteurs inventés par M. Cédric Lynch sont particulièrement performant pour cet usage. Voir les détails et liens sur mon site http://www.solarly.ch et sur mon blog http://solarly.canalblog.com
Encore Bravo pour vos efforts qui démontrent par l’exemple que l’électro-solaire, ça marche !
bonjour
j,ai une bonne experience de bateaux electrique de grandes tailles ( vaporetto de Venise E1,Gondole Larienne) et je n’en ai pas sur les bateaux de petite taille dans le secteur des hors bords electrique.
Les seuls reproches que l’on pourrait faire a Torqeedo c’est la frequence d’emission du bruit du reducteur et le fait que l’helice ne soit pas entubee comme l’est le Whisper xt de fabrication Us malheureusement arretee
je pense qu’un entubage de l’helice pourrait augmenter la poussee, reduire la perception du bruit et augmenter la securite (prop guard ou autre entubage)
Dans le dernier Fluvial n°225 à la page 42, il y a un article très complet sur cette installation.
Le titre de l’article : Transformer un transportable thermique en bateau électro-solaire
Si vous êtes intéressé par ce type d’installation, nous vous invitons à nous faire partager vos expériences ou vos idées.